« Le PGAC a été conclu car au cours des 20 dernières années, les Occidentaux ne cessaient de porter des accusations non-fondées contre l'Iran », a rappelé Mohammad Eslami aux micros des journalistes à Natanz jeudi soir 16 juin.
S’attardant sur le fait qu'au cours des deux dernières décennies, il y a eu de nombreuses discussions et visites marathons, qui ont finalement porté leur fruit à savoir la signature historique en 2015 de l'accord multilatéral sur le nucléaire iranien, le Chef de l’OIEA a indiqué : « Le PGAC stipulait que les allégations non-fondées sur la possible dimension militaire du programme nucléaire iranien, devaient être closes en raison et après les inspections onusiennes. »
Soulignant qu’en échange de la clôture du dossier sur la PMD, on s’est engagé à lever les sanctions anti-iraniennes, M.Eslami a ajouté : « L’accord visait à supprimer définitivement les accusations précédentes (contre le programme nucléaire d’Iran) et, deuxièmement, à encadrer nos actions dans le cadre des mesures de confiance et d'une surveillance stricte. »
Le Chef de l'Organisation iranienne de l'Energie atomique a poursuivi en déplorant que le camp d’en face n'a pas respecté ces obligations et n'a pas rempli leurs obligations : « Maintenant que des négociations sont en cours pour retourner à PGAC en agonie (après le retrait unilatéral des Etats-Unis en 2018 du Pacte international), ils répètent les mêmes accusations avec les preuves non-fondées et fabriquées fournies le régime sioniste d’Israël. »
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